Nulle souffrance dans mes écrits ni dans mes pensées, juste des questions qui se posent à moi...
Est-ce que le chemin que l'on prendra doit être écrit d'une manière qui ne nous convient pas?
Je ne souhaite nulle souffrance, est-ce que taire ses envies fait souffrir l'autre?
Tout ce que je souhaite c'est être bien avec une personne qui sera bien en retour de par mon amour et ma tendresse...
La souffrance vient du fait d'avoir connaissance d'éléments qui pourraient être contraires à ses aspirations profondes...
Je ne suis pas sombre et ne souhaite pas le devenir, mes écrits me libèrent et je souhaite qu'ils m'apportent les réponses à mes questions afin que je puisse avancer sans craintes sur un chemin qui sera proche de celui que je souhaite prendre...
Ma pensée du jour fait suite à une question posée, judicieuse et à laquelle je peux répondre car je ne sais pas encore ce que je souhaite néanmoins je sais ce que je ne souhaite pas et c'est souffrir ou faire souffrir, pour être passée par là je suis aujourd'hui partisante de la sérénité...
Bonne nuit, que vos rêves soient doux et peuplés de mille fleurs aux arômes envoûtants...
Ne serait-ce que pour l'envie, pour l'interdit, pour LES interdits...
Est-ce être mal que de vouloir être bien?
Aller dans le sens du vent ou dans son propre sens...
Ils veulent donc condamner mais ne font que créer dans l'esprit une idée qui doit être appliquée...
C'est être lâche que d'aller dans un sens imposé puisque sont désirés les ébats tant cachés...
En plein jour, pour un tour, un corps lourd, de l'amour...
Juste des pensées, rien d'appliqué, pas de trahison, juste envie de passion...
Le tourment vient du secret tant gardé, les fantasmes ne seront réalisés, mais rien ne viendra détruire les rêves, bons ou mauvais, ils ne sont que des rêves...
Pourquoi parler de vices, la fusion des corps de peut en être un...
Est-ce si mal d'avoir des pensées condamnables?
Il est dit quelque part que l'on doit se donner corps et âme à l'être aimé, est-ce si terrible si l'on ne lui donne que son âme et que l'on partage son corps?
Est-ce que souffrance sera si l'être aimé est dans l'ignorance?
Doit-on vraiment appartenir à quelqu'un?
Sommes-nous donc incapable de dissocier le corps et le reste?
Pour ma part, je crois que ma réponse fera bondir les bien-pensants mais il me semble que la souffrance de l'autre passe par sa connaissance du partage du corps de son ou sa partenaire, sans celà nulle souffrance...
Suis-je vraiment si loin de la vérité?
Aimerais-je moins?
Je ne pense pas qu'il soit judicieux d'attendre que l'on vienne nous chercher, nous devrions oser aller où nous le souhaitons, sans peur de l'inconnu qui ne demande qu'à être découvert...
Nous ne sommes jamais sûrs de rien mais nous pourrions nous faire un peu plus confiance, nous sommes censés connaître nos limites et nos failles...
Pourquoi devrions-nous nous pliez aux actions dites "normales",?Pourquoi ne pas être soi-même?
Oser chercher une part de nous, quelle qu'elle soit, pour enfin la retrouver:
Etrange cette femme,
Elle fait tourner les pages,
Elle sait taire la flamme
Et rendre les hommes sages.
Emasculés au fond,
Ils ferment tous les yeux,
Enfermés au donjon,
Ils meurent peu à peu.
Langue blessée, coupée,
Les idées ne sont plus.
Les pieds et poings liés,
Les âmes se sont tues.
Dans l'air irrespirable
De ces corps putréfiés,
Tous les mots sont louables
Mais ils sont baillonés.
Des yeux vides regardent,
Ces ombres délabrées.
Et ces femmes qui gardent,
Et ces hommes suppliciés.
Qu'ont-ils fait un beau jour
Pour mériter ce sort?
Ont-ils fui un amour
Qui les poursuit encore?
Elle se venge, mais de quoi?
Elle qui rêve de beau jours.
Sa vie est un mouroir!
Il n'y a plus d'amour.
P.PASTOR ( Marquise)
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