Marlon BRANDO aujourd'hui disparu, un des plus beaux hommes de ce siècle à mes yeux, il avait un charisme fou et un visage aux traits délicats...

Pour moi, un des plus beaux "spécimen" qu'il m'ait été donné de contempler...

Je sais, je regarde les "vieux", mais en voyant ce regard si profond je cherche encore dans la nouvelle génération cinématographique un homme qui puisse dégager autant de sex-appeal...

Ce n'est pas gagné...

Dans la catégorie "vieux", je voudrais JACK!!!

Alors, lui c'est tout un poème, je suis tombée amoureuse de ses yeux il y a plus de 15 ans, il n'a rien de spécial si ce n'est ce rictus fatal et son regard coquin...

Jack NICHOLSON est le seul acteur vivant à me faire encore de l'effet...

Vous me direz qu'il y a Brad PITT et tous les autres mais ils n'ont pas le même charisme même si je reconnais volontier qu'ils ne dormiraient pas dans la baignoire si d'aventure ils se perdaient près de chez moi...

 Même à son âge n'est-il pas craquant??? 

Quoi qu'il en soit, je dois dire qu'il m'est impossible de résister au charme de Jack quand je le vois jouer des rôles de fous ou d'obsédé, si vous aimez les vieux films je vous conseille "le facteur sonne toujours deux fois" dont l'une des scènes incluse dans le film est une véritable relation intime entre sa partenaire et lui et qui aurait dû être coupée au montage pour un peu moins de ... réalisme...

C'est avec l'âge que je me suis interessée aux vieux filmes des années 50 et 60 et j'avoue que certains sont vraiment remarquables!!!

N'hésitez pas, les préocupations de l'époque n'étaient pas les mêmes que celles d'aujourd'hui mais il y avait encore un peu de naïveté et je crois que nous en avons tous un peu besoin...

Bonne lecture, bon film, à bientôt pour une prochaine chronique de La Marquise...

Sur la ville endormie, il veille sur les corps, irréel cette nuit, il n'attend plus l'aurore.

Son âme n'est pas ici, aux côtés de la femme, seulement son ombre gît, il a perdu sa flamme.

Dévoré par le frois, rien n'a plus d'importance, l'amour n'a pas de lois, il n'y aura plus de danses.

Perdue, elle, pour toujours, mais il l'attend en vain, la mort, pas de retour, oui la mort est une fin.

Dans cette nuit sombre, humide, il marche dans l'allée, il voit creuser les rides symboles de son passé.

La vie dès lors sans elle, n'a plus le charme d'antan, même plus le goût du sel, rien n'est plus comme avant.

Il pense à se tuer, pour aller la rejoindre, il sera libéré, il n'aura rien à craindre.